Le commissaire divisionnaire EKO EKO Léopold Maxime, ancien directeur général de la Direction Générale de la Recherche Extérieure (DGRE), a récemment fait une déclaration par le biais d’un communiqué émis par le collège des avocats qui assurent sa défense. Il dénonce une vaste campagne médiatique visant à dénigrer sa personne et les hautes fonctions qu’il a occupées depuis le début de l’affaire Martinez ZOGO. Cet article examine les allégations du commissaire divisionnaire et explore les implications de cette campagne médiatique sur son cas.
Le contexte de l’affaire Martinez ZOGO
L’affaire Martinez ZOGO a débuté en janvier 2023 et a récemment conduit au renvoi en jugement du commissaire divisionnaire EKO EKO Léopold Maxime le 1er mars 2024. Les détails exacts de l’affaire et les charges qui pèsent sur lui ne sont pas mentionnés dans le communiqué. Cependant, il est important de noter que, conformément à la présomption d’innocence, le commissaire divisionnaire est innocent jusqu’à preuve du contraire.
La campagne médiatique de dénigrement
Selon le communiqué, une vaste campagne médiatique a été orchestrée depuis le début de l’enquête et s’est intensifiée après le renvoi en jugement du commissaire divisionnaire. Cette campagne médiatique se serait déroulée sur les chaînes nationales et internationales ainsi que sur les réseaux sociaux. Le communiqué dénonce cette entreprise malicieuse de dénigrement systématique qui vise à jeter l’opprobre sur la personne de M. EKO EKO et sur l’Institution qu’il a dirigée avec honneur, dignité et intégrité pendant 13 années consécutives.
Le respect du processus judiciaire
Les avocats du commissaire divisionnaire rappellent que la loi interdit de commenter les procédures judiciaires en cours. Ils soulignent que l’opinion publique ne saurait se substituer à la justice. Par conséquent, le commissaire divisionnaire EKO EKO a choisi de réserver l’essentiel de ses moyens de défense au tribunal, dans lequel il place toute sa confiance.
Le commissaire divisionnaire EKO EKO Léopold Maxime, ancien directeur général de la DGRE, dénonce une campagne médiatique visant à le dénigrer dans le cadre de l’affaire Martinez ZOGO. Par le biais d’un communiqué émis par ses avocats, il affirme que cette campagne vise à jeter l’opprobre sur sa personne et sur l’Institution qu’il a dirigée. Le respect de la présomption d’innocence et le respect du processus judiciaire sont soulignés dans le communiqué, et le commissaire divisionnaire réserve l’essentiel de ses moyens de défense au tribunal. L’évolution de cette affaire et les répercussions de la campagne médiatique seront suivies de près.
Emmanuel Ekouli