Une information largement relayée par certains médias classiques et sur les réseaux sociaux prétend que le ministre de la Communication, Porte-Parole du Gouvernement, a mis en garde les Camerounais contre l’utilisation de la formule “il y’avait quoi avant”. Cependant, le ministre tient à démentir ces allégations, affirmant que cette information est fausse et vise à semer la confusion au sein de l’opinion. Dans cet article, nous clarifierons la situation et mettrons en évidence l’appel du ministre au respect des règles éthiques et déontologiques dans le traitement de l’information.
Avec l’avènement des médias classiques et des réseaux sociaux, l’information se propage rapidement et peut atteindre un large public en un instant. Cependant, cette rapidité de diffusion peut également conduire à la propagation de fausses nouvelles et à la confusion générale. Il est donc essentiel de vérifier scrupuleusement les informations avant de les relayer.
Selon les informations relayées, le ministre de la Communication aurait averti les Camerounais contre l’utilisation de la formule “il y’avait quoi avant”, sous peine d’être accusés d’hostilité à la patrie, d’insulte à corps constitué et de propagation de fausses nouvelles. Cependant, le ministre a formellement démenti ces allégations, affirmant que cette information est totalement fausse. Il condamne cette démarche professionnelle qui porte atteinte à sa personne et aux valeurs du métier de journaliste et rappelle l’importance du respect des règles éthiques et déontologiques par les professionnels des médias dans le traitement des informations. Il est crucial de vérifier l’exactitude des faits, de donner la parole à toutes les parties concernées et d’éviter la propagation de rumeurs infondées.
Les médias et les journalistes jouent un rôle essentiel dans la société en fournissant des informations précises et vérifiées. Il est de leur responsabilité de ne pas contribuer à la diffusion de fausses nouvelles ou de manipuler l’opinion publique. En respectant les principes éthiques et déontologiques, les professionnels des médias contribuent à la construction d’une société informée et équilibrée. En agissant ainsi, ils jouent un rôle essentiel dans la préservation de l’intégrité de l’information et le renforcement de la confiance du public.
Emmanuel Ekouli