En 2024, les effets du changement climatique se font de plus en plus sentir à l’échelle mondiale. Les températures moyennes continuent d’augmenter, entraînant une recrudescence des phénomènes météorologiques extrêmes comme les canicules, les sécheresses, les inondations et les tempêtes.

Les engagements pris lors de la COP21 en 2015 et les efforts déployés depuis n’ont pas permis de contenir le réchauffement climatique comme espéré. Les émissions de gaz à effet de serre restent trop élevées et les objectifs de réduction sont encore loin d’être atteints.

De nombreuses régions subissent des conséquences importantes : fonte accélérée des glaciers et calottes glaciaires, élévation du niveau des océans, perte de biodiversité, perturbations des écosystèmes et des activités agricoles et économiques.

Face à cette urgence, la pression sociale et politique s’accentue pour que des mesures plus ambitieuses soient prises au niveau international, national et local afin de limiter davantage les émissions et s’adapter aux changements en cours.

Les scientifiques appellent à une mobilisation sans précédent et à une transformation profonde de nos modes de production et de consommation pour espérer atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 et contenir le réchauffement sous les 1,5°C.

Nadine Azieh Mangwi

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