L’état de santé critique du directeur général de l’ANOR plonge l’agence dans la confusion
Le directeur général de l’Agence des Normes et de la Qualité (ANOR), Charles Bota a Ngon, est actuellement dans un état critique, selon des sources concordantes. Hospitalisé depuis un peu moins d’un mois au Centre des Urgences de Yaoundé (CURY), sa maladie l’a considérablement affaibli. Cette situation a plongé le personnel de l’ANOR dans la confusion et l’incertitude quant à l’avenir de l’agence en l’absence de son directeur général.
Le 4 mai 2024, Charles Bota à Ngon avait célébré sa cérémonie d’intronisation en tant que chef traditionnel de 2ème degré du canton Ngam à Bafia, dans la région du Centre. Cependant, des sources rapportent que cette cérémonie grandiose a été marquée par des controverses, certains le qualifiant de “faux prince Bafia”. Des spéculations suggèrent que des forces obscures auraient frappé le directeur général à la suite de cet événement, tandis que d’autres estiment que son influence grandissante dans son département natal pourrait ne pas être du goût de tous. Toutefois, ces affirmations restent des suppositions.
La situation actuelle
Charles Bota a Ngon se trouve dans un état critique, nécessitant des soins intensifs au CURY. Cette nouvelle a provoqué une démobilisation du personnel de l’ANOR, où règne désormais la confusion. Chacun se demande ce qui adviendra si le directeur général ne peut plus assumer ses fonctions. L’absence de Charles Bota a Ngon et son état de santé précaire ne contribuent pas à instaurer un climat de sérénité au sein de l’agence.
L’ANOR, agence chargée de garantir les normes et la qualité au Cameroun, traverse une période troublée en raison de l’état de santé critique de son directeur général, Charles Bota a Ngon. Cette situation incertaine a semé la confusion parmi le personnel de l’agence, qui se demande quelles seront les conséquences de l’absence prolongée de leur dirigeant. Les circonstances entourant la maladie de Charles Bota a Ngon restent encore floues, mais il est indéniable que son état de santé préoccupant perturbe le fonctionnement de l’ANOR.
Kom Mapié Erica