Il n’y a aucun doute que l’année 2025 sera cruciale pour l’avenir de notre pays bien-aimé, et cette réalité n’échappe certainement pas aux nationalistes camerounais. Face à cet enjeu majeur, la Diaspora Combattante, dans toutes ses dimensions militantes, politiques, associatives et individuelles, a décidé de se rassembler sous la bannière des États Généraux de la Résistance. Cette rencontre historique, initiée par la BAS Belgique, est prévue pour le 13 décembre 2024 à Bruxelles, veille d’une grande manifestation de solidarité envers les victimes de tortures au Cameroun.

Cet événement phare sera suivi par un concert exceptionnel réunissant l’illustre artiste Longuè Longuè, accompagné du charismatique Willy de Paris, figure spirituelle de la BAS. Ce week-end chargé s’annonce comme une opportunité majeure pour la Diaspora Combattante de réfléchir à sa place et à son rôle dans le processus électoral en cours. En tant qu’observateurs avisés et citoyens camerounais engagés, il est impératif que nous assumions pleinement nos responsabilités pour garantir des élections libres, transparentes et exemptes de fraudes.

Au cœur des discussions se trouvera la nécessité de veiller à ce que les inscriptions sur les listes électorales et le processus de vote en 2025 respectent scrupuleusement les principes démocratiques, assurant ainsi des résultats acceptés de tous, y compris par ELECAM. Bruxelles sera le théâtre de ces débats cruciaux, offrant à la Diaspora Combattante Camerounaise l’opportunité de s’aligner sur le cours de l’histoire qui se dessinera en 2025.

Pour un Cameroun libre ou la mort, le rendez-vous est pris !

Fait à Bruxelles, Berlin, Genève, Madrid, Montréal, Paris, Rome, Washington, le 16 novembre 2024


Emmanuel Ekouli

Une réflexion sur “ Les états généraux de la Résistance pour une alternative en 2025

  1. Je suis désolé de lire que certains Camerounis dits de la diaspora, se regroupent pour disent-ils, décider de l’ avenir du Cameroun, et très loin du Cameroun. C’ est le premier échec de leurs initiatives. Le deuxième échec c’ est qu’ils ignorent immensément les réalités du pays dont ils se réclament d’être des enfants. Tout ce bataclan pourrait finalement n’ avoir été que des agitations scolaires. Je vais vous assurer que la diaspora Camerounaise, de par tout le monde, mordra la poussière devant le phénomène Cameroun. Que ceux de cette diaspora qui ont des oreilles pour entendre et enfin comprendre, le comprennent.

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