Des détails macabres émergent sur l’assassinat de la journaliste et les antécédents criminels de son fils
La communauté journalistique est en état de choc suite à la découverte de la mort violente de Sylvie Louisette Ngo Yebel, une journaliste éminente et chargée de communication à la COMIFAC. Selon des sources fiables, la victime aurait été tuée et décapitée par son propre fils, Batek Yebel Landry, âgé d’une vingtaine d’années. Le crime aurait eu lieu dimanche dernier dans leur domicile familial, situé dans le quartier Etoa-Meki à Yaoundé.
Les autorités ont rapidement réagi à cette atrocité et ont arrêté Batek Yebel Landry hier mardi. Les éléments de la gendarmerie ont appréhendé le suspect dans le cadre de leur enquête. Des informations préliminaires suggèrent que des tensions importantes existaient entre la victime et son fils présumé meurtrier, ce qui aurait conduit ce dernier à commettre l’acte violent sous l’influence de stupéfiants.
L’affaire prend une tournure encore plus troublante lorsque l’on découvre que Batek Yebel Landry est également accusé d’avoir assassiné sa propre grand-mère en décembre dernier. Selon une source proche de l’affaire, cette tragédie aurait été étouffée avec la complicité de la victime d’aujourd’hui, sinon le suspect serait déjà derrière les barreaux. Les aveux complets de Batek Yebel Landry ont été obtenus lors de son interrogatoire après son arrestation.
La communauté journalistique est profondément attristée par la perte de Sylvie Louisette Ngo Yebel, une professionnelle respectée et appréciée. Son décès brutal laisse un vide immense dans le monde des médias du Cameroun et au-delà.
L’enquête se poursuit pour faire la lumière sur les circonstances exactes de cette tragédie et pour déterminer si d’autres complices sont impliqués. Les autorités s’engagent à rendre justice à la journaliste assassinée et à sa famille, tout en veillant à ce que des mesures soient prises pour prévenir de tels actes répréhensibles à l’avenir.
Cet événement douloureux rappelle également l’importance de la santé mentale et de la prévention de la violence familiale. Il souligne la nécessité pour les autorités et la société de mettre en place des mesures de soutien et de sensibilisation pour prévenir de tels drames.
La journaliste Sylvie Louisette Ngo Yebel restera dans les mémoires comme une professionnelle talentueuse et engagée, dont la vie a été tragiquement interrompue. Ses collègues et amis lui rendent hommage.
Mohaman Bello
C’est triste, c’est triste et dure à accepter voilà encore un forfait pour des parents qui supportent leurs enfants malgré ce que fait l’enfant tant bien que mal. Voilà donc le résultat car il est nécessaire de dénoncer ce genre de situation dès que possible ou en sommes nous dans la détresse , en pleure et inconsolable par ce qu’on a voulu caché le mauvais habitude de l’enfant. Courage à la famille durement et doublement éprouvée. Que dieu vous donne force et courage au nom de son fils JC