François Zavier Fonkou Wolong, le père des états généraux de développement au Cameroun

Sommité du mouvement associatif et commissaire général des Remad Afrique-Canada 2025, cet homme pluridimensionnel anobli du titre de notabilité Ndefeu Suffo (ami du chef), fait aujourd’hui partie de grands militants du développement intégrale de l’Afrique.

« S’il n’avait pas existé, il eût fallu le créer ». Loin d’être un radotage d’un vieux, ces paroles d’un septuagénaire sont un avis partagé par ceux qui, toutes proportions gardées, ont eu la chance de rencontrer François Zavier Fonkou Wolong dont la réputation de travailleur, de patriotisme et d’inspirateur précède partout où il passe. C’est lui, qui pour la première fois au Cameroun, a implémenté le concept d’« États généraux de développement », avec succès. Et c’était dans le département de la Mifi, région de l’Ouest.

Un concept qui a tenu debout et qui fait aujourd’hui la fierté de plusieurs localités à travers le trigone national, malgré les peaux de banane et les campagnes de sabotage et de dénigrement essuyées par son architecte qu’est la manager coach et assureur de profession, François Zavier Fonkou Wolong. Cet homme très actif qui a su se faire distinguer au niveau national et international comme un as du mouvement associatif au Cameroun.

Il faut dire que contre vents et marrées, au travers des écueils, des entraves, des aléas et même des avatars, les « Etats généraux de développement » de la Mifi a pris corps et a débouché sur la création du Comité /association de développement de ce département (Codemi). Comité qui reste le premier à l’échelle départementale au Cameroun. Un exemple rapidement copié par plusieurs autres régions du pays. « Seulement, la copie n’est jamais l’originale », commente une source.

Services publics

Toutefois, la tenue des « Etats généraux de développement » dans la Mifi, on peut le dire sans ambages, a déclenché une avalanche de réalisations socioéconomiques et a contribué à juguler l’inertie observée pendant longtemps dans les services publics. « Si on ne prend le cas de la consommation du BIP, avant la naissance du Codemi, les communes de la Mifi étaient toujours des lanternes rouges dans la région de l’Ouest en particulier et au Cameroun en général », à en croire un membre de l’élite de l’Ouest.

A ajouter foi aux déclarations de cet homme, avec le Codemi et ses dispositions de contrôle et de suivi des gestionnaires de budget et des prestataires, la Mifidepuis 2020 est toujours en tête de la consommation du BIP. Plusieurs exemples peuvent d’abord en témoigner. Et cette sociation à vocation développement, ne s’est pas arrêtée à ce niveau. Les préoccupations majeures des populations de la Mifiont été recensées et portées, par elle, à l’attention du chef de l’Etat. Dans la même veine, il y a la demande de création d’une université technologique, de la création d’un port sec, de l’augmentation du nombre des sièges de députés, de la création du 4^e et 5^earrondissements avec pour chef-lieu Kouekong et Bapi, entre autres.

Par ailleurs, confie une source, « l’histoire retiendra que le Codemi est la première organisation nationale à donner un prix au chef de l’Etat, Paul Biya dans le cadre de Codemi Awards Acte 1. Prix baptisé “Arche de Noé de l’Afrique”. Il faut rappeler que le CodemiAwards est un événement qui célèbre, encourage et récompense le dynamisme et la mérite ». Toutes ces initiatives à mettre à l’actif de François ZavierFonkou Wolong. Ce Camerounais qui est l’auteur du livre “Son Excellence Paul BIYA, Arche de Noé de l’Afrique”. Il est également celui qui a pensé, avec André Bruno Mfenda Essi, à l’époque maire, le projet de construction des logements sociaux à Meyomessala. Que dire des milliers de dons offerts aux personnes appartenant à diverses couches sociales, entre autres : journalistes et malades internés dans les hôpitaux à l’Ouest ! Les bénéficiaires de ses libéralités étant aussi les institutions publiques et privées, les organisations et associations, les écoles et lycées, les hôpitaux… L’organisation de la Célébration de la journée internationale de l’enfant à l’ouest en fait aussi partie. Cette liste est loin d’être exhaustive.

Lettres d’or

Dans le cadre professionnel, François Zavier FonkouWolong a écrit son nom en lettres d’or dans le secteur des assurances au Cameroun. Il a été président de l’Association des personnels des sociétés d’assurance à l’Ouest (Asao) pendant près de 15 ans. Il a décidé de quitter Sanlam-Cameroun quelque temps après sa promotion comme animateur force de vente / directeur commercial. A l’international, cet homme qui connaît une ascension quasi-napoléonienne œuvre pour maintenir le statut d’Organisation Non Gouvernementale (ONG) de Codemi et de le classerparmi les plus en vue au monde. Ces efforts sontvisibles à travers la qualité des relations nouées àl’international et autres mesures efficaces prises. Aujourd’hui par exemple, grâce à la Convention Codemi-Addac, le président du Comité de développement de la Mifi occupe la poste commissaire général de l’organisation des RemadAfrique-Canada 2025, sommet mondial écologique et économique qui se tiendra à Québec au Canada du 12 au 14 juin 2025.

« Ce sommet qui a pour objectif la mise sur pied d’un Plan d’urgence environnemental mondial horizon 2050 et à encourager à travers le prix International Africa Win Awards ou prix du mérite Canada-Afrique les chefs d’états, associations et/ou Organisations distinguées ” Pèlerins pour des causes mondiales durant les 5 dernières années ” Au rang des lauréats on a des chefs d’Etat comme Paul Biya, président de la République du Cameroun ; Justin Trudeau, Premier ministre du Canada ; les présidents du Maroc, du Sénégal, du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Gabon et bien d’autres pays », indique une source bien au fait de l’organisation de ces assises mondiales.

ETATS GENERAUX DE DEVELOPPEMENT DE LA MIFI

EXPOSE DES FAITS PAR LE PRESIDENT DU COMITE D’ORGANISATION M. FONKOU WOLONG FRANÇOIS ZAVIER

Monsieur le Préfet du Département de la Mifi ;

Messieurs les Sous-préfets des Arrondissements la Mifi ;

Leurs Majestés les Chefs Traditionnels ;

Honorable Sénateur PDG NGOUCHINGHE SYLESTRE ;

Excellence NGUIHE KANTE PASCAL, Ministre secrétaire Général Adjoint ; des Services du Premier Ministre ;

Madame METOU Bursil Miranda, Vice-recteur de l’Université de Dschang ;

Honorable WEMBE Samuel ;

Monsieur le Maire TAGNE NGEKO Emmanuel ;

Monsieur le Président TATIEKAM Ribeau ;

Monsieur le PDG FOKOU NGNINTEDEM Elie ;

Monsieur le Secrétaire Général du ministère des transports ;

Monsieur le Directeur Général du Trésor ;

Messieurs les Délégués Régionaux et départementaux ;

Honorables Sénateurs et Députés de la Mifi ;

Monsieur le Délégué du Gouvernement auprès de la Communauté Urbaine de Bafoussam ;

Messieurs les Ministres de culte ;

Mesdames et Messieurs les Maires ;

Mesdames et Messieurs les Pré ‘dents des comités de développements et des associations des élites ;

Mesdames et Messieurs les responsables Départementaux et d’arrondissements des partis politiques ;

Mesdames et Messieurs les membres des organisations de la Société Civile ;

Mesdames et Messieurs les membres des différentes commissions du comité de réflexion des Etats Généraux de la Mifi ;

L’honneur nous échoit de vous savoir si nombreux à cette assise des Etats

Généraux de la Mifi dont les objectifs nous interpellent tous à plus d’un titre.

Les Thèmes des Etats

exposés ci-après

1. La Mifi pour la paix et l’Unité Nationale

2. La Mifi au-dessus des intérêts individuels 3- La Mifi pour la préservation des acquis

3. La Mifi pour la promotion des valeurs

4. La Mifi pour la promotion du vivre-ensemble et du bilinguisme

5. La Mifi pour la protection et la valorisation du patrimoine culturel, matériel et immatériel.

6. La Mifi pour un développement pour tous.

La Mifi, capitale régionale de la Région de l’Ouest dans un monde en pleines mutations ne saurait rester à la traîne.

Face aux soubresauts qui animent le quotidien de notre département, et nous exposent à toutes les éventualités néfastes, il était grand temps qu’un recadrage et une canalisation soient envisagés afin que nul n’en ignore.

La Mifi, est un ensemble de 5 groupements dont.

1. Bafoussam

2. Bamougoum

3. Baleng

4. Bapi

5. Bandeng,

Rassemblés autour de 3 Circonscriptions administratives à savoir :

Bafoussam 1^eravec pour chef-lieu Bafoussam

Bafoussam 2^èmeavec pour chef-lieu Lafé (Baleng-Bapi-Bandeng)

Bafoussam 3^èmeavec pour chef-lieu Kongso(Bamougoum).

La particularité de notre département comme d’ailleurs les grandes métropoles est sa position de ville carrefour et sa diversité cosmopolite, politique, religieuse, culturelle, agricole et commerciale.

La Mifi est le deuxième département de la région de l’Ouest qui a eu le privilège d’abriter la capitale régionale après le recentrage du découpage colonial (Province Bamoun et Province Bamiléké), mais aussi la Menoua.

1. La Mifi a-t-elle Pensé à une éventuelle délocalisation du chef-lieu de la région vers un autre département ?

2. La Mifi a-t-elle Pensé à capitaliser les acquis ?

3. La Mifi et ses arrondissements peuvent-ils alors affirmer avoir tiré leur épingle du jeu de leur position ?

4. La Mifi peut-elle au bénéfice

Des enjeux politique et démocratique certifié et son environnement social dire avoir tiré son épingle du jeu ?

5. La Mifi peut-elle au regard d’avoir tout mis en exergue ?

6. La Mifi ne mérite-t-elle pas mieux ?

Toutes ces questions dont les réponses dans les détails se retrouveront dans le développement des exposés, méritent une annonce forte dans cet exposé des faits.

Face à la première interrogation, nous pouvons répondre sans ambages que la Mifi n’a pas pensé que la capitale régionale de l’Ouest pouvait être délocalisée au profit d’un autre département ce qui n’est pas exclu. Car de 2 Provinces à l’époque coloniale (Province Bamoun avec pour chef-lieu Foumban et la province Bamiléké avec pour Chef-lieu Dschang), On s’est retrouvé au jumelage des deux Provinces avec 1 pour Chef-lieu Dschang. 1^erépisode, Foumban perd sa place de Chef-lieu. 2^èmeépisode, plus tard, Dschang va perdre le Chef-lieu de la province de l’Ouest au profit de la Mifi. 3^ème épisode, à qui le tour demain ?

Pour la deuxième question, les réponses peuvent varier. Mais à 70%, nous répondons par la négation.

Pour la troisième question, l’équation est très difficile à résoudre lorsqu’on s’imagine que 90% des structures de l’Etat sont en location tant au niveau départemental arrondissements.

A la quatrième, les hommes avertis répondront par oui. Mais est-ce l’avis des populations de la Mifien général ou alors il y a déficit d’informations ?

La cinquième question peut s’avérer amusante. Mais elle vaut son pesant d’or. Qu’est ce qui peut expliquer cette disparité dans nos collectivités territoriales décentralisées ? Rapprocher l’administration des administrés n’est-ce pas là, une promotion du développement de l’arrière-pays par ceux-là mêmes qui y résident ?

La sixième question nous interpelle à plus d’un titre. Car sur le plan du vivre-ensemble par exemple, les populations de la Mifi font partie des exemples. Sur le plan du dynamisme et du travail, elles ne sont pas en reste etc.

A la septième question, la réponse est aisément positive. Car le lycée Technique canada peut bien être transformé en université technologique tout comme la Mifi peut abriter un détachement des grandes écoles du pays, un musée et un festival départemental, avoir plus d’arrondissements, plus de députés, plus de conseillers Evidemment les gens demanderont pourquoi on parle de la Mifi et non des fils, filles ou résidents de la Mifi. Si vous revenez aux thèmes de ces Etats Généraux il s’agit de la « Mifid’abord ». Les fils, filles, bref les résidents et les natifs en général de la Mifi étant des éléments du grand ensemble mathématique qui sont de la Mifi.

Pour parvenir aux assises, de ce jour23 Novembre 2019, il y a eu 12 réunions préparatoires ordinaires en 04 Mois. Du mois d’Août 2019 au mois de Novembre 2019.

C’est le lieu ici pour nous de remercier et féliciter tous les membres du comité de réflexion, tous les Hommes de Médias, toutes les personnes de bonne Volonté qui ont participé à la mise en œuvre de cette organisation.

Nous voulons également remercier le Panel, chacun en ce qui le concerne pour le sacrifice consenti pour le développement des exposés qui sous-tendent le thème inscrit à l’ordre du jour.

Comme vous le réalisez, il n’est aucunement question pour ces assises de proposer des solutions magiques aux problèmes qui minent notre société, mais nous voulons par ces Etats Généraux de la Mifi, faire un jalonnement capable de booster le développement du département.

C’est l’aboutissement des projections qui sortiront de nos assises qui fera la force des Etats Généraux de la Mifi.

En claire, si des exposés, nous nous limitons tout simplement aux résolutions sans possibilités de suivi, il s’agira exactement d’un coup d’épée dans l’eau.

Mais, le Comité de réflexion des Etats Généraux de la Mifi souhaite voir la Mifi s’accrocher sur la locomotive de l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035. Ainsi, au sortir de ces assises, un comité de suivi des résolutions sera la bienvenue. Ce comité de suivi des résolutions des Etats Généraux de la Mifique le comité de réflexion a baptisé CODEMI « Comité de Développement de la Mifi » et dont un bureau sera mis sur pied ce jour après validation de son statut, se chargera éventuellement du suivi et de l’accompagnement des activités du Comité de développement des 5 groupements.

L’Etoile de son vrai nom MOKALA Jacqueline.

La Mifi n’ayant pas un Logo « Identité » jusqu’à présent, un challenge a également été lancé et le prix de 100 000 FCFA remporté pour ce logo que vous voyez sur la table et sur les tee-shirts des hôtesses.

Pour booster la communication autour des EGM un forum WhatsApp a été mis sur pied, un compte Facebook et des chargés de communication que nous remercions ici solennellement, ont travaillé d’arrache-pied avec les médias en général.

S’agissant d’une nouvelle vision et d’une nouvelle approche, c’est le lieu ici de remercier nos pères qui par le passé n’étaient pas restés les mains moites des initiatives telle que GEMROM, GRAMI, ARC-EN-CIEL, etc., qui ont vu le jour même si elles n’ont pas prospéré.

Nous souhaitons que l’esprit qui a animé les réunions du comité de réflexion de la mise en œuvre des EGM à savoir apolitique, laïque et non ethnique, devra être le même pour la pérennité de la dynamique de la structure de suivi des résolutions des Etats Généraux de la Mifi.

Chers frères et sœurs, chers participants, notre Mifid’Hier, carrefour obligé de tous les passages, se trouve aujourd’hui démembrée et désertée du jour au lendemain de ses populations et des structures génératrices d’emplois et de revenus.

Voyez-vous, pour aller à Douala aujourd’hui, les tronçons Bamenda-Mbouda- Dschang Melong et Bamenda-Mbouda-Foumbot-Bagangté-Bafang, ne favorisent plus le passage obligatoire par Bafoussam.

Pour aller à Yaoundé

Le tronçon Bamenda-Mbouda-Foumbot-Bagangté ou Carrefour Bayomen, ne favorise plus le passage par Bafoussam

1. La route Dschang-Melong ;

2. La route Foumbot-Bagangté ;

3. La route Mbouda-Foumbot ;

4. La route Foumbot-carrefour Bayomen

5. La route Bagangté-Bafang.

Ces roules contribuent fortement à l’k i

Point de chute des autorités administrale que même si les chantiers de la CAN offrent de ranger pour mieux affronter la difficile de promouvoir nos valeurs dans le contexte de la mondialisation.

Oui,

– Qu’avons-nous fait pour pouvoir alimenter les caisses de nos communes ?

– Qu’avons-nous fait pour limiter l’exode rural de nos jeunes ?

– Qu’avons-nous fait pour valoriser nos sites touristiques ?

– Qu’avons-nous fait pour l’encadrement et l’Insertion de nos jeunes ?

– Qu’avons-nous fait pour préserver et valoriser nos acquis ?

– Qu’avons-nous fait pour promouvoir notre agriculture, notre élevage, nos petits métiers ?

– Qu’avons-nous fait pour promouvoir nos valeurs culturelles matérielles et immatérielles ?

– Qu’avons-nous fait pour faciliter l’installation des entreprises dans la Mifi?

– Qu’avons-nous fait pour promouvoir la sécurité dans nos quartiers et attirer les investisseurs ?

– Etc.

Ces questionnements non exhaustifs nous renvoient à cet adage : A qui la faute ?

Voyez-vous, seulement dans le cadre de la CAN, la Mifi bénéficie de 04 stades, du plus grand réseau routier bitumé, des quartiers se développent à grande vitesse (Kouekong, Tyo, Lafé, Ndze, sans compter les riverains de la route carrefour Tobe- stade de Kouekong, les hôtels etc. Mais alors, quel avenir après la CAN ?

Comment s’en sortir avec la décentralisation ?

C’est le lieu ici, en interpellant toutes les élites, les résidents, les partenaires et sympathisants, de remercier et féliciter nos gardiens de la tradition, nos Chefs supérieurs et Chefs de Communautés qui contre vents et marées, ne lésinent sur aucun moyen pour la préservation de l’essentiel dans leurs regroupements.

Aux autorités administratives et forces de maintien de l’ordre, recevez toute notre gratitude pour vos efforts ô combien remarquables sur le plan sécuritaire et bien d’autres.

Aux parrains des Etats Généraux de la Mifi, le Comité d’organisation vous adresse ses sincères remerciements.

A tous ceux qui ont contribué de près ou de loin, recevez notre parfaite reconnaissance.

A tous les panelistes, merci pour tout.

Le Président du comité d’organisation a décidé d’offrir à chaque membre ayant pris part à une des réunions du comité de réflexion, un tee-shirt floqué du logo “identité de la Mifi Logo qui vient d’être remis officiellement à l’autorité administrative par les Chefs Supérieurs de la Mifi.

Par ailleurs, nous encourageons le développement des comités de vigilance dans les quartiers qui sont des gages pour l’encadrement de la sécurité et de la paix indispensable pour le développement du tourisme et l’attraction des investisseurs.

Nous ne dirons jamais assez, l’Europe s’est développée autour des assurances, nous devons encourager la culture des assurances dans nos familles, dans nos entreprises, et dans notre société afin d’éviter des dépenses à répétition pour les mêmes sujets et/ou projets.

Voilà globalement Mesdames et Messieurs, en attendant les résolutions qui sortiront des échanges après les exposés, retracées les préoccupations majeures de la Mifi dans le contexte de la décentralisation et de la mondialisation.

Nous ne saurons terminer sans dire merci aux âmes de bonne volonté pour leur prompte réaction face à la catastrophe de Gouache qui nous interpelle sur la protection de l’environnement et le plan d’occupation de nos sols.

Vivement que cette première édition des Etats Généraux marque un nouveau départ pour la Mifiafin que